C’est sous la baguette énergique et passionnée d’Andrew Litton que rayonne ce soir l’Orchestre National de Lille dans sa nouvelle salle. Rouverte depuis le 10 janvier 2013, la salle aux briques rouges s’est convertie en un véritable joyau tant du point de vue de l’architecture qu’acoustique accueillant 1700 personnes. Coût : 15 millions d’euros.
Mariss Jansons et ses musiciens du Symphonieorchester des Bayersichen Rundfunk ont provoqué un feu d’artifices avec la Cinquième de Beethoven et la Symphonie fantastique de Berlioz.
Artistes, responsables des maisons de disques et de programmations musicales et membres du jury réunis en attendant l'an prochain à Varsovie
C'est l'Orchestra Sinfonica di Milano Giuseppe Verdi et son chef John Axelrod qui accueillaient le gala et la remise des ICMA à l'Auditorium de Milan. Nous reviendrons sur la salle, l'orchestre et leur histoire car cela mérite vraiment d'être conté.
Les Canaries ! Spontanément, elles évoquent les retrouvailles du soleil et de la mer au plein coeur de l'hiver plus qu'un haut lieu de musique, classique de surcroît ! C'est mal connaître la philosophie des Iles : « le plaisir de tous les sens ».
Dans le cadre du "Festival of the Imaginary, Fables", le Pierrot Lunaire d'Arnold Schönberg était présenté à Flagey par l'ensemble Het Collectief et Eine kleine Nachtmusik de Mozart par le Quatuor Alfama. Entre ces deux œuvres s'est intercalé Papillons de nuit, film d'animation de Raoul Servais (Belgique, 1998).
Le programme de cette soirée, soigneusement concocté par Matthias Goerne et Pierre-Laurent Aimard, était tout entier placé sous le thème de la finitude et du sens de la vie
Enfant chéri des salles de concert depuis toujours, Krystian Zimerman nous revenait ce soir avec un programme qui sacrifiait au respect des anniversaires, celui de Debussy en l'occurrence, avec lequel il a toujours nourri des affinités particulières.
Dos au public et le piano face à l'orchestre, Pierre-Laurent Aimard, accompagné par la Philharmonie de Chambre de Brême, s'en est donné à coeur joie durant toute une longue soirée, dans un programme éclectique mais d'une grande cohérence.
Pour son premier concert en tant que directeur musical, Andrey Boreyko s'est lancé dans un programme passionnant: le Concerto pour violon et orchestre en ré majeur op.77 de Brahms et la Symphonie fantastique d’Hector Berlioz.