Arthur HONEGGER (1892-1955) Symphonie no°3 “Liturgique” Symphonie no°1 en do majeur
Sinfonieorchester Basel, dir.: Dennis Russell DAVIES
2012– DDD- 55’00’’-Textes de présentation en anglais, allemand- Sinfonieorchester Basel– SOB 2
Edvard GRIEG (1843-1907)
Quatuor à cordes opus 27
Johannes BRAHMS (1833-1897)
Quintette avec clarinette opus 115
Jörg WIDMANN (clarinette), Quatuor HAGEN
2011-DDD-75'44-Textes de présentation en anglais, français et allemand-Myrios MYR007 Si le quatuor de Grieg connut une première gravure – exceptionnelle – dès 1937 grâce au légendaire quatuor de Budapest, elle n'eut plus guère les faveurs du disque par la suite, si ce n'est à l'occasion de vastes anthologies de l'oeuvre du compositeur norvégien, à l'instar du quatuor Raphael pour le label Brilliant.
Thésée de Gossec à Liège
Décidément, la tragédie lyrique post-gluckiste a le vent en poupe ces derniers temps. Après Catel ou Sacchini, voici Gossec. Non, ce musicien originaire du Hainaut belge n’est pas seulement l’auteur de symphonies remarquables ni de chants révolutionnaires, mais aussi de deux tragédies lyriques dont ce Thésée de 1782, écrit sur le même texte de Quinault déjà utilisé par le vieux Lully, ainsi que le voulait Devismes, directeur de l’Opéra, dans un effort de relance du patrimoine, à l’instar de l’Armide de Gluck ou de l’Amadis de Gaule de Jean-Chrétien Bach.
Le Mage de Massenet à Saint-Etienne
L'année Massenet (1912-2012) se termine en apothéose avec cette “recréation” de l’opéra Le Mage dans le cadre de la Biennale organisée par l’Opéra-Théâtre de sa ville natale. Recréation ? Oui, en quelque sorte, car l’oeuvre, créée en 1891 à l’Opéra de Paris, si elle connut un beau succès public (31 représentations), fut éreintée par la critique et jamais reprise, hormis une fugitive apparition à La Haye cinq ans plus tard.
Franz LISZT (1811-1886)
Prometheus-Festklänge-Hamlet-Von der Wiege bis zum Grabe Orchester Wiener Akademie, dir.: Martin HASELBÖCK
2011-DDD-63'22-Textes de présentation en anglais, français et allemand-Membran 60255 Avouons une certaine appréhension à chaque fois que nous entamons l'écoute d'une galette qui nous propose des poèmes symphoniques de Liszt.
L’année Massenet (1912-2012) se termine en apothéose avec cette “recréation” de l’opéra Le Mage dans le cadre de la Biennale organisée par l’Opéra-Théâtre de sa ville natale. Recréation ? Oui, en quelque sorte, car l’oeuvre, créée en 1891 à l’Opéra de Paris, si elle connut un beau succès public (31 représentations), fut éreintée par la critique et jamais reprise, hormis une fugitive apparition à La Haye cinq ans plus tard. Il s’agit donc bel et bien d’une redécouverte totale. Comment appréhender cet oubli qui paraît incompréhensible ?
C‘est l’Opéra National du Rhin qui a présenté, un siècle après sa création à Frankfort, (18 août 1912) la première représentation scénique en France de « Der Ferne Klang » (Le son lointain) de Franz Schreker. C’est grâce à cet opéra que le compositeur autrichien fut reconnu internationalement.
Dans le cadre du "Festival of the Imaginary, Fables", le Pierrot Lunaire d'Arnold Schönberg était présenté à Flagey par l'ensemble Het Collectief et Eine kleine Nachtmusik de Mozart par le Quatuor Alfama. Entre ces deux œuvres s'est intercalé Papillons de nuit, film d'animation de Raoul Servais (Belgique, 1998).
Le programme de cette soirée, soigneusement concocté par Matthias Goerne et Pierre-Laurent Aimard, était tout entier placé sous le thème de la finitude et du sens de la vie